Voir son steak comme un animal mort

Le 22/05/2015

L214, l’Association Végétarienne de France et Lux Éditeur
ont le plaisir de vous inviter au lancement de l’ouvrage

Voir son steak comme un animal mort de Martin Gibert
qui aura lieu le mardi 26 mai à 19h à la mairie du 2e arrondissement de Paris.

Conférence Voir son steak comme un animal mort

Sauver les animaux reviendrait-il à laisser tomber les êtres humains ? C’est contre ce cliché que l’ouvrage de Martin Gibert axe son propos. Chercheur en éthique et chargé de cours en philosophie du droit à l’Université de Montréal, il sera à Paris à l’occasion du lancement de son livre percutant.

Son intervention sera précédée d’une présentation du mouvement végane au Québec par Elise Desaulniers, auteure de Je mange avec ma tête et Vache à lait.

Quoi ? Conférence suivi d'un buffet
Quand ? Mardi 26 mai 19h
Où ? Mairie du 2e arrondissement de Paris, 8 rue de la Banque
Qui organise ? L214, l'Association Végétarienne de France et Lux éditeur.

Contact presse :

Brigitte Gothière : 06 20 03 32 66

Elodie Vieille Blanchard (Association Végétarienne de France) : 06 32 43 86 40

Voir son steak comme un animal mort

Le véganisme est une attitude politique et morale qui consiste à s’abstenir de consommer les produits liés à la souffrance animale. Les arguments moraux sont solides et, si l’on y ajoute les considérations environnementales, de justice globale et de santé, la cause est entendue : dans la mesure du possible, nous devrions tous devenir véganes.

Certains critiquent le véganisme au nom de l’humanisme : se soucier des animaux serait en quelque sorte manquer de respect à l’humanité.
L’objectif central de ce petit livre consiste à répondre à cet argument. En réalité, lorsqu’il est bien compris, le véganisme s’inscrit parfaitement dans une tradition humaniste, altruiste et non violente. Militer contre la souffrance non nécessaire et contre la domination des plus faibles, qu’ils appartiennent à notre espèce ou à une autre, cela ne nous rend pas moins humains. Bien au contraire. C’est, en tout cas, ce que propose de démontrer cet essai qui s’appuie sur les recherches les plus récentes en éthique, en sociologie et en psychologie morale.

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